Le chiffre: 4000 jeunes filles en belgique risquent l’excision

Aucun cas d’excision n’a été rapporté chez nous. Mais le risque existe.

Des femmes victimes de mutilations génitales féminines (MGF) vivent en Belgique. Elles n’ont pas été excisées sur le sol belge, mais dans leur pays, en majorité la Guinée, la Somalie et l’Égypte.

En Belgique, une loi de 2001 punit l’excision pratiquée à l’étranger si les auteurs résident ici. S’il existe des cas d’excision en France, aucun n’a jamais été rapporté chez nous. Mais le risque n’est pas nul.

À l’échelle mondiale, on estime à 200 millions le nombre de femmes excisées. Pourtant, les MGF déclinent petit à petit depuis une trentaine d’années. En attendant leur abolition complète, le nombre de femmes demandeuses d’asile en raison de MGF en Belgique a plus que doublé entre 2008 et 2015

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