Ces associations qui dérangent

Dans cette analyse, le CIRÉ revient sur la décision prise par le Gouvernement belge, en juin dernier, de fermer 10.000 places d’accueil pour les demandeurs d’asile.

Début juin 2016, le Gouvernement belge a annoncé sa décision de supprimer 10.000 places d’accueil pour les demandeurs d’asile.

Et, au passage, d’évincer des partenaires historiques: les associations. Les demandes d’asile sont certes en baisse depuis le début de l’année. Et ce n’est pas facile de gérer un réseau d’accueil qui doit s’ajuster aux arrivées fluctuantes.

Le Gouvernement devait donc prendre des décisions pour s’adapter au contexte actuel. Cette décision paraît donc répondre à une saine gestion des fonds publics. Il est en effet défendable de fermer les places ouvertes dans l’urgence quand cette urgence a disparu, de surcroît en maintenant 7.500 places “tampons”, activables rapidement. Si ce n’est que les places à fermer ont été soigneusement choisies.

Et que le fait de considérer que la Belgique n’est plus concernée par la “crise de l’asile” est un positionnement purement politique

Découvrez l’analyse:

Cette analyse est parue dans le numéro 176 de la Chronique, magazine de la Ligue des droits de l’Homme, octobre 2016.

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