L’accès à l’aide juridique dans les centres fermés est loin d’être garanti. C’est le constat que nous faisons dans cet état des lieux.
Les procédures sont complexes. Les décisions de l’administration sont difficiles à comprendre et l’avocat est difficilement joignable. La difficulté du contact avec le monde extérieur, la formation de certains avocats et l’urgence que suppose l’expulsion imminente sont autant de facteurs pénalisants.
Afin d’obtenir des améliorations rapides et concrètes pour que les étrangers détenus en centre fermé aient accès à une aide juridique efficace et de qualité, nous formulons 50 recommandations.